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Le Golfe d’Amour – 1908

Musique : Guitare & Chant René-André LOMBARD acompagné des choeurs de la Frétouze – Arrangements Michel Ganteaume



Poème original
d’Emile RIPERT
English version
Adaptation
de René-André LOMBART

C’est le Golfe que je chante
Le golfe d’Amour
Il faut que ce chant enchante
Les plus tristes jours
C’est le Golfe qui se creuse
Dans les rochers durs
Et dont la ligne est heureuse
Ainsi qu’un coeur pur
Le Golfe d’Amour…

C’est le Golfe où les navires
Sitôt qu’insistant
Le Vent souffle son délire
Rêvent de beau temps
Un doux roulis les incline
Vers les flots berceurs
Ils rêvent que les collines
Sont des bras de soeurs…

Ceux qui peinant dans les villes
Ont courbé le front
Sur de vils labeurs serviles
Le relèveront
Sitôt qu’en l’automne tendre
Ou le bel Eté
Ils croiront à loin entendre
Le Golfe chanter…

Tous les songes tous les rêves
De leurs Printemps clairs
Les attendent sur la grève
De la pâle mer
Retour de pêcheurs ô voiles
Sur les flots frileux
Lorsque s’ouvrent des étoiles
Les calices bleus…


For that bay I strike the bell
The Love Bay
This chant must cast a spell
And lighten the darkest day
That’s the bay with the sharp line
Cutting deep into the rocky shore
Her shape and silhouette are mine
Filling my heart with truth and more
The Love Bay

Held captive in the Bay
A Ship struggles with the wild sea
Strong winds keep her away
As the crew dreams to set her free
Sailing on soft waters
Those gentle hills and rolling tide
Greet her like real sisters
The cap is set the ship follows her guide…

To those enslaved by cities
Locked in hardship and pain
Exhausted from their harsh duties
Their efforts won’t be in vain
As the early autumn shivers
After the summer and its magic
They will turn into listeners
To the Bay and its music…

Let the dreams and thoughts
They once had as children
On the seabed rest like boats
Of the pale blue ocean
Back to the shores sailors arrive
Cutting through the chilled ripples
Stars from the sky seem to dive
Resembling nectar that trickles…


C’est le Golfe que je chante
Le golfe d’Amour
Il faut que ce chant enchante
Les plus tristes jours
C’est le Golfe qui se creuse
Dans les rochers durs
Et sa ligne est heureuse
Celle d’un coeur pur
Le Golfe d’Amour…

C’est le Golfe où les navires
Rêvent de beau temps,
Sitôt qu’insistant
Le Vent souffle son délire
Ils Rêvent
Un doux roulis les incline
Vers les flots berceurs
Ils rêvent que les collines
Sont des bras de soeurs…

REFRAIN

Tous les songes tous les rêves
De nos Printemps clairs
Nous attendent sur la grève
De la pâle mer…
Retour
Retour de pêcheurs ô voiles
Sur les flots frileux
Quand s’ouvrent des étoiles
Les calices bleus…

REFRAIN

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