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FESTO VIERGINENCO

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… ce sont ces filles, ces belles filles coiffées à l’Arlésienne, dont on parle dans le monde entier. Elles ont conservé la noblesse et l’élégance de notre race provençale. Elles portent superbes, telles que des princesses, le ruban de Mireille. Elles savent parler d’une bouche douce comme du miel la douce langue des Félibres : elles sont la source d’amour, d’allégresse et de finesse, où l’œil de l’artiste et l’âme du poète viennent se mirer et boire l’idéal… F. MISTRAL

Aquest image es la lièurèio
Ouferto i sorre de Mirèio
Que se fan glori de pourta
La couifo d’Arle emé fierta.

 

 

 

 

La « Festo Verginenco »
au théâtre antique d’Arles

Cette image est le cadeau
Offert aux sœurs de Mirèio
Qui se font gloire de porter
La coiffe d’Arles avec fierté.

 

 

 

 

Aquarelle de
Léo Lelée (1872 – 1947)


Mistral distribue aux jeunes filles d’Arles le diplôme de festo
vierginenco

AUJOURD’HUI

Cette fête du costume, que l’on doit à Frédéric Mistral, honore les jeunes filles de 15 ans qui prennent pour la première fois le costume et la coiffe d’Arlésienne.

Tradition perpétuée chaque année, dernier dimanche de juillet, aux Saintes-Maries-de-la-Mer, après la messe en provençal, bénédiction des taureaux et des chevaux dans l’arène. Dans l’après-midi, grand défilé et spectacle dans les arènes.

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